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Un recueil d’idées de plus de 50 auteures et auteurs sélectionnées par Jennifer Corriero

Cette ressource éducative est destinée aux jeunes adeptes de l’innovation sociale qui ont entamé une première série de démarches en vue de réaliser des projets communautaires. Forts de leurs expériences uniques en matière d’innovation sociale et de leurs connaissances à titre de spécialistes dans leur domaine d’expertise, les auteures et auteurs qui ont contribué à cet ouvrage offrent idées, conseils et pistes de réflexion.

Au fil des pages, le lectorat découvrira des initiatives sociales aussi nombreuses que variées, lesquelles s’accompagnent d’astuces, d’outils et de modèles utiles pour réfléchir à ses projets communautaires et les concrétiser.

Rencontrer les auteurs

Ancienne du programme Jeunes en action de TakingITGlobal, Michelle Friesen est extrêmement fière d’être la première femme autochtone à siéger au conseil municipal de la Ville de Whitehorse, qui se trouve sur le territoire traditionnel de la Première Nation Kwanlin et de la Première Nation de sa famille : le Conseil Ta'an Kwäch'än.

Lorsqu’elle n’est pas occupée à remplir ses fonctions de mère, Michelle s’efforce d’autonomiser les femmes par la pratique du vélo de montagne, tout en les mettant en contact avec des ressources utiles en santé mentale et en bien-être. Elle s’emploie également à partager ses expériences de campagne pour encourager la diversité et la représentation au niveau de la classe dirigeante ainsi qu’en politique.

Codirecteur général de La ConnexionaI et pilier de la communauté, Ivan Touko (il/lui) figure parmi les 30 principaux leaders de moins de 30 ans de l’Alberta et a été nommé artiste de l’année lors de la cérémonie des AC Awards 2022. Il se consacre avec passion à rassembler les gens, à organiser des initiatives locales et à améliorer le sort des communautés mal desservies en misant sur la collaboration et le partage des ressources. Ivan s’intéresse de très près à la façon dont les connexions entre culture, technologie et innovation sociale peuvent servir à améliorer la qualité de vie des communautés défavorisées, à générer un impact social à grande échelle et à créer un riche patrimoine intergénérationnel.

Jutta Treviranus est directrice du Inclusive Design Research Centre [Centre de recherche en conception inclusive] (IDRC) et professeure à la Faculté de conception de l’Université de l’École d’art et de design de l’Ontario (ÉADO) à Toronto. Jutta a créé l’IDRC en 1993 en tant que point de jonction d’une communauté mondiale de plus en plus vaste qui s’emploie à prendre les devants pour faire en sorte que notre société, si transformée par le numérique et connectée à l’échelle mondiale, réponde à des règles de conception inclusives. Jutta a également fondé un programme d’études supérieures novateur en conception inclusive à l’Université de l’ÉADO. On lui doit la création d’une méthodologie de conception inclusive qui a été adoptée par de grandes entreprises, certains gouvernements et des organisations du secteur public à l’échelle internationale. Ses publications et ses interventions en tant que conférencière sont extrêmement nombreuses. Compte tenu de son nom unique, on peut aisément consulter ses conférences et ses publications en effectuant une recherche sur le Web à l’aide des mots « Jutta Treviranus ».

La passion de Sarah pour le changement communautaire grâce à l’entrepreneuriat s’est démultipliée pendant qu’elle effectuait son baccalauréat en gestion et économie à l’université Dalhousie. Naturellement motivée, Sarah travaille au changement communautaire par l’entremise de New Venture, l’association à but non lucratif qu’elle a créée pour rendre le milieu de l’entrepreneuriat plus accessible et plus équitable à l’égard de toutes les personnes. En plus d’avoir œuvré au sein d’importantes organisations internationales comme Social Shifters et Unite 2030, Sarah est reconnue comme une grande défenseuse de l’entrepreneuriat social et communautaire, et elle continue également à encourager le changement dans son village de K’jipuktuk par le travail, la musique et la danse.

Vedanshi Vala, qui prépare un baccalauréat en sciences à l’université de la Colombie-Britannique, a déjà de nombreuses publications académiques à son actif. Ses articles traitent d’une variété de sujets, tels que l’Homo floresiensis et la peur humaine de l’autre, l’ADN des néandertaliens et la construction des notions de race et d’ethnicité, la discrimination dans le domaine médical, le prodrome et les antécédents de la schizophrénie, ainsi que l’exacerbation des crises à long terme de santé mentale et de violence domestique durant la pandémie de COVID-19.

Comme Vedanshi aime les travaux manuels et l’artisanat, elle a créé sa propre marque de bijoux, appelée MAZE. Reconnaissant que la mode est un luxe que peu de gens peuvent s’offrir, elle verse une partie des bénéfices de cette entreprise à Covenant House pour soutenir le travail que cette association effectue auprès de jeunes en crise.

Cofondatrice et directrice générale de la société de protection BOLT Safety Society, Vedanshi mène des efforts communautaires pour encourager une plus grande sécurité et une meilleure équité. Cela inclut la création de la plateforme numérique BOLT sur l’application mobile WIX, du service national Safe Buddies et du réseau Safe Hubs, qui redéfinit l’accès à des mesures de protection personnelle dans tout le Canada. De plus, Vedanshi dirige une équipe internationale qui organise des ateliers dans des communautés rurales de l’Inde en partenariat avec la Fondation de la princesse Diya Kumari et de la famille royale de Jaipur.

Jaxson Khan est conseiller en politiques auprès du ministre de l’Innovation, Sciences et Développement économique du Canada, ce qui lui permet de s'employer à accélérer la croissance de l’économie de notre pays.

Dans le domaine des politiques, Jaxson avait d’abord été conseiller pour l’initiative Century Initiative, consultant pour la Fédération des municipalités canadiennes, et cofondateur de Jeunes Diplomates du Canada.

Avant d’œuvrer au sein du gouvernement, Jaxson travaillait dans le domaine des technologies, entre autres comme directeur de la croissance de Fable, une plateforme d’accessibilité qui aide les grandes organisations à fabriquer des produits numériques inclusifs pour personnes handicapées. Jaxson a également été cofondateur d’une société internationale de conseil centrée sur l’intelligence artificielle, l’éducation et des compagnies de technologie financière en Amérique du Nord, Amérique latine, Europe et Afrique. Avant de devenir consultant, Jaxson a travaillé pour Nudge.ai (rachetée par Affinity), Influitive, Paddle (rachetée par LinkedIn) et Microsoft.

À titre d'auteur, Jaxson a publié des articles dans les domaines de la technologie, de l’éducation et des politiques gouvernementales, et il a également été conférencier, entre autres, pour TEDx et pour l’International Economic Development Council. Il a obtenu son diplôme de l’Université Western à l’aide d’une bourse nationale 3M et été sélectionné au palmarès des 20 jeunes de moins

Vedanshi a fait valoir l’importance de communautés plus sûres et plus équitables dans de grands médias canadiens tels que CBC, Global News et CTV News, et elle a été reconnue nationalement lorsqu’elle a reçu le Prix L’Oréal Paris Woman of Worth. Elle fait partie du palmarès des 25 principales personnalités de moins de 25 ans de Surrey et a été nommée parmi les quatre femmes immigrantes les plus inspirantes du Canada.

de 20 ans les plus performants du Canada.

Quand il ne travaille pas, il écrit, apprend des langues, va voir des concerts, danse et fait des randonnées en montagne.

Natalie Wood est une artiste en arts visuels et médiatiques née à Trinidad et résidant à Toronto, qui a remporté de nombreux prix pour ses œuvres. Elle prépare un doctorat dans la faculté des changements urbains et environnementaux de l’université York, tout en étant professeure permanente au Collège George Brown (GBC) où elle se spécialise dans l’enseignement de l’innovation et des économies sociales, et où elle est également détachée à titre de coordinatrice du programme Black Futures. Elle est cofondatrice du Environmental and Urban Change Black Caucus, membre active du Wildseed Centre for the Arts and Activism, une organisation de défense Black Lives Matter, fondatrice de la troupe Blue Devil Posse et cofondatrice du Social Innovation Hub au GBC. Son parcours universitaire inclut une maîtrise en éducation de l’art obtenue à l’Université de Toronto et des cours en studio à l’Université de l’École d’art et de design de l’Ontario.

Son projet de doctorat est une recherche créative qui explore les futurités noires et la résistance diasporique queer dans les carnavals des Caraïbes. Dans ses œuvres multimédias, qui traversent les domaines de la culture populaire, de l’éducation et de la recherche historique, elle explore sa fascination pour les contre-discours, ainsi que pour les cultures de guérison et les icônes qui libèrent les communautés noires et queers.

Natalie a reçu diverses bourses : une du CRSH, plusieurs de l’université York et du programme d’études supérieures de l’Ontario, une du Conseil du Canada en 2020, un prix d’excellence du Black Student Success Network du GBC en 2017, un prix du mérite pour la recherche communautaire du Centre for Urban Health Initiatives et de l’Institut Wellesley en 2007, le Prix des nouveaux·elles pionnier·ère·s pour la contribution aux arts et à la culture en 2006 (New Pioneers Award for contribution to Arts and Culture), le Prix de reconnaissance civique de la ville de York pour son utilisation de l’art dans le soutien aux communautés marginalisées en 1997, le Prix de reconnaissance des arts NourbeSe Philips, et d’autres de la ville de Toronto, du Conseil de l’Ontario et du Conseil du Canada pour les arts. Ses œuvres sont représentées par la galerie d’art contemporain Paul Petro.

Originaire du sud de la Colombie-Britannique, Jessi Hall a travaillé pratiquement pendant dix ans, depuis l’âge de 20 ans, dans les secteurs des services et du tourisme dans six provinces et territoires différents. Elle vit désormais dans le Yukon depuis bientôt trois ans. En février 2022, elle s’est produite en concert avec l’aide de l’organisme Jeunes en action, où elle a pu interpréter ses propres chansons visant à sensibiliser l’opinion sur la crise des opioïdes dans le Nord. Jessi poursuit son travail avec la musique, personnellement et professionnellement, et espère réaliser d’autres projets positifs pour sa communauté.

Éducatrice, artiste et baladodiffuseuse, Jade Roberts est une femme autochtone et crie des bois de la Première Nation du Lac La Ronge. Elle vit actuellement sur le territoire du Traité 6 à Saskatoon, en Saskatchwan. Jade a obtenu son diplôme du programme de Formation des enseignants indiens de l’Université de la Saskatchewan en 2018. Elle enseigne depuis un programme sur l’art et la culture crie à l’élémentaire.

Jade est une pionnière de la baladodiffusion autochtone en Saskatchewan – elle a créé le balado Still Here Still Healing [Toujours là, toujours blessée] pour sensibiliser les gens quant à l’impact des pensionnats, pour partager les histoires rapportées par les survivant·e·s et réunir des jeunes autour de discussions portant sur leur culture, leur

langue, leur identité et leur communauté. Jade a plus récemment lancé un deuxième balado sous le nom de The Sobriety Circle [Discussions autour de la sobriété], qu’elle coanime et dans lequel elle explique le chemin parcouru pour reconquérir sa sobriété.

Jade produit des œuvres d’art traditionnelles mais aussi numériques. Dans le cadre de son art numérique, elle crée des œuvres autochtones futuristes reflétant sa culture crie pour ouvrir un débat autour de la langue, de l’histoire et de l’identité. Dans son art davantage traditionnel, elle s’efforce d’adopter une démarche créative plus inspirée de la terre lui permettant d'expérimenter diverses techniques, comme la peinture et la pyrogravure sur écorce de bouleau, le tannage des peaux de poisson et le perlage.

Jade est aussi lauréate du prix Future 40 de CBC Saskatchewan. Son balado a par ailleurs été nominé pour les Prix canadiens du balado en 2020 et en 2022, et son travail artistique a fait l’objet d’une publication dans la 100 édition de SAY Magazine et dans The Polyglot. Vous pouvez accéder à son travail et à tout autre renseignement sur le site jadeleviroberts.com

Patrick, aussi connu sous le nom de Nang Ḵ‘uulas, est originaire de Haida Gwaii, en Colombie-Britannique. Réalisateur pour le cinéma et la télévision et déjà lauréat de plusieurs prix à ce titre, il est aussi entrepreneur social et professeur d’université. Récipiendaire du Prix de l’entrepreneur de l’année des Aboriginal Business Awards décernés par la province de la Colombie-Britannique, il est aussi à l’origine de plus d’une dizaine de jeunes entreprises et autres initiatives sociales, créatives et à but non lucratif, ce qui lui a valu d’être classé parmi les 15 premiers Innovateurs émergents du Canada par Ashoka Changemakers, et parmi les 50 premiers Jeunes innovateurs culturels du monde par Salzburg Global Seminar.

S’appuyant sur la culture au sein de laquelle il a grandi, Patrick tente, à travers la technologie, les médias et l’éducation, d’outiller les populations locales afin qu’elles puissent répondre aux problèmes sociaux et culturels des communautés autochtones isolées du Canada.

Après avoir travaillé plus de 15 ans dans l’industrie du cinéma, de la télévision et de la photographie à Vancouver, Patrick dirige à présent la compagnie de production cinématographique InnoNative, l’agence de mannequins autochtone Supernaturals et le collectif pour la formation aux médias et à la production Haida Gwaii Media Collective.

Becky Han est une chanteuse-compositrice inuite qui a grandi dans la petite et magnifique communauté d’Ikpiarjuk (Arctic Bay), au Nunavut. Convaincue que la musique est tout à la fois un outil créatif et éducatif, elle aime écrire la plupart de ses chansons en Inuktitut. Son livre pour enfants, Bee, est basé sur sa chanson « Qaariaq », pour laquelle elle a reçu un prix.

Originaire d’Abeokuta, au Nigéria, Ridhwanlai Badmos est arrivé au Canada dans son plus jeune âge. Il est très actif dans ses communautés, où il œuvre en faveur de la diversité, l’équité et l’inclusion. Ridhwan est aussi régulièrement bénévole auprès de Youth Empowering Youth, mais aussi de banques alimentaires et de groupes de défense de la justice sociale à travers le Canada. En 2021, il a coanimé et facilité les discussions du sommet Beyond the Horizon Youth Summit. Il a plus récemment entrepris de créer un organisme à but non lucratif nommé Wake Up Mental Health, qui lui permet d'offrir aux jeunes des ateliers conçus pour favoriser la santé mentale. Si vous ne le surprenez pas en train de faire du réseautage, de mobiliser les gens ou d’inciter le personnel éducateur et les jeunes à trouver des solutions innovantes aux enjeux mondiaux, c’est qu’il est en train de lire un bon livre, de regarder un match de basketball ou d’en disputer un avec ses amis, ou simplement de jardiner avec sa famille.

Emel Tabaku (elle) est candidate à la maîtrise en politique publique de l’école Munk School of Global Affairs & Public Policy à l’université de Toronto. Elle détient aussi un baccalauréat en beaux-arts de l’Université de l’École d’art et de design de l’Ontario, avec une majeure en dessin et peinture, et une mineure en histoire de l’art.

Au-delà de ses études, Emel Tabaku est aussi la fondatrice et directrice générale de RCAD Initiative: Redefining Communities through Art + Design, un organisme à but non lucratif qui s'emploie à donner une voix aux communautés de jeunes sous-représentées par le biais d'un programme de mentorat en narration, de formations pour acquérir des compétences en entrepreneuriat et d'un dialogue innovant. Fervente activiste dans le domaine de l’art, avide de changement, entrepreneure sociale et ardente défenseure des jeunes, Emel possède aussi une expérience considérable dans les espaces de développement multisectoriels et se consacre avec une passion acharnée à renforcer la résilience des communautés.

Emel a effectué sa résidence d’artiste auprès de Youth Climate Lab plus tôt cette année, dans le cadre du programme de mentorat FUTURES/forward initié conjointement par l’ICASC et les Judith Marcuse Projects : elle y a préparé et conçu la trousse de défense de l’environnement #DigitalArt4Climate. Elle a aussi travaillé comme assistante de conseiller municipal dans le bureau du maire de la ville de Toronto pendant l’été, afin d’appuyer le travail du Département des relations avec la communauté et les parties prenantes.

Emel est actuellement aide-consultante chez UNDP Accelerator Labs, Indonesia, où elle travaille sur les dossiers de la résilience urbaine et de l’atténuation des changements climatiques.

Priscilla Amoah est la cofondatrice du BEELA Center for Indigenous Foods, qui vise à aider le Ghana à constituer sa première banque de semences indigènes en suivant les principes de l’agroécologie, mais aussi en plaçant la communauté agricole au cœur du projet et en plaidant pour la souveraineté alimentaire. Auparavant, Priscilla a travaillé comme mentore auprès de pairs dans le post-secondaire et comme animatrice de cours à l’université York, où elle a élaboré et réalisé divers projets, programmes d’études et événements afin de contribuer à l’engagement de l’université à offrir un campus sécuritaire, équitable et inclusif. Priscilla a par ailleurs soutenu

Abena Offeh-Gyimah est la cofondatrice du BEELA Center for Indigenous Foods, projet dont l’objectif principal est de préserver les semences, aliments et pratiques agricoles indigènes d’Afrique. Avant le lancement de ce projet, Abena était chef de projet pour le partenariat Jane Finch Community Research Partnership, où elle a pu développer son expérience en matière de mobilisation communautaire, recherche éthique, élaboration de programmes, partenariats et collaboration. Elle a aussi travaillé pour d’autres organisations telles que la North York Community House, la Black Creek Community Farm, le Jane Finch Center et Building Roots

plusieurs initiatives, événements et programmes prônant l’abolition de toute violence fondée sur le genre, ainsi que sur le thème des aliments indigènes africains. Priscilla possède plus de dix ans d’expérience dans les domaines de l’égalité des femmes et des genres, du service-conseil, de la gestion opérationnelle, de la gestion de programme et de la gestion des relations, ainsi que dans le développement des capacités communautaires et dans l’action collective au sein des secteurs public et privé.

Toronto. De plus, Abena peut se prévaloir de plusieurs années d’expérience dans les travaux de recherche éthique auprès des communautés et dans tout ce qui a trait aux systèmes alimentaires locaux et à la souveraineté en matière de semences. Elle a d’ailleurs travaillé en collaboration avec des mouvements de défense de la souveraineté alimentaire. Grande protectrice de l’environnement, Abena est aussi écrivaine, chercheuse et naturaliste.

Aaron Williamson est consultant, facilitateur, concepteur, technologue et artiste. S’appuyant sur le processus participatif, la pratique visuelle et la conception fondée sur les données, Aaron s’attache à résoudre des problèmes complexes faisant intervenir de multiples parties prenantes.

Grâce à Value Web (collectif à impact international et association spécialisée dans la conception de solutions) et à Goal 17, sa propre entreprise, Aaron a pu collaborer avec un nombre important d’organisations, dans des secteurs d’activités variés. Ayant travaillé avec des gouvernements, d’importantes sociétés, des entreprises émergentes, des organismes à but non lucratif et des organisations internationales, il propose une approche multidisciplinaire ancrée dans sa conviction que chaque secteur industriel et chaque partie prenante a quelque chose à nous apprendre.

Auprès de l’UNICEF, de l’OMS, du FMI, du PNUD, du PNUE et du Forum économique mondial, Aaron a appris à travailler avec des leaders mondiaux afin de s’attaquer à des enjeux d’une grande complexité entourant nos systèmes alimentaires, l’environnement et la santé publique. Par ailleurs, Aaron a aussi pu comprendre, auprès d’Airbus, de la HSBC, de Facebook, Google, PwC et United Health, les défis auxquels les entreprises font face au moment d’établir des stratégies cruciales, afin que ces dernières soient cohérentes aux yeux de toutes leurs équipes à travers le monde. Ayant participé aux phases d’incubation et de démarrage de centaines de jeunes entreprises dans l’écosystème technologique émergent de Toronto, Aaron connaît les défis qui attendent les entrepreneur·e·s à l’heure de développer des technologies et de consolider leurs entreprises tout en constituant des réseaux de soutien composés d’investisseurs, de conseillers et de clients.

Cuisinier insatiable, pagayeur enthousiaste et grand adepte du macramé à ses heures perdues, Aaron vit avec ses deux fils à Toronto, au Canada.

Agente immobilière accomplie (niveau platine) opérant à Toronto, Mary Hawk se spécialise dans les projets de préconstruction et la vente de biens. Elle est également la PDG et cofondatrice de la Sheen for She Foundation, un organisme de bienfaisance enregistré polyvalent et à service complet qui se consacre aux femmes et aux enfants marginalisés et qui vise à favoriser les soins personnels, la santé des femmes et des concepts sains d’identité de soi (sheenforshefoundation.com). Elle est également programmeuse, auteure, conférencière et innovatrice. Mary est en outre une activiste et a été reconnue à ce titre comme « héroïne urbaine 2021 » par Starland Metro Media dans la catégorie « enjeux sociaux », sélection du jury.

En peu de temps, la Sheen for She Foundation a collaboré avec la Croix-Rouge canadienne, la Fondation canadienne des femmes et près de 200 organismes afin de venir en aide à des milliers de femmes et d’enfants. Sous la direction de Mary, le Perseverance Aid Project a pris la forme d’un puissant mouvement de soins personnels qui a permis de recueillir plus de 500 000 dollars canadiens et de distribuer plus de 10 000 trousses en Ontario. La Sheen for She Foundation compte aujourd’hui plus de 200 membres à Toronto, Durham, Halton, Peel et York.

Les réalisations communautaires et l’impact de la Sheen for She Foundation ont valu à Mary de faire l’objet d’articles et de reportages par Global News, CBC, Omni News et Lifestyles Magazine. Elle a également reçu un prix du programme de reconnaissance du Collège Glendon en raison de son exceptionnel leadership et a été finaliste au prix Femmes d’inspiration.

Résidant à Iqaluit, au Nunavut, JC travaille actuellement dans le domaine des relations de travail en administration publique et il vient d’achever sa formation professionnelle à l’École du Barreau du Québec. Très engagé dans sa communauté, il siège au conseil d’administration de l’organisme Carrefour Nunavut, dont la mission consiste à promouvoir le développement économique de la communauté francophone du Nunavut.

En tant qu’ancien de l’organisme #JeunesEnAction, JC a été nommé au début de 2022 premier coordonnateur francophone dans le Nord. Il aide maintenant nos partenaires et les jeunes candidat·e·s du Nord à remplir des rapports et des demandes.

JC est entièrement bilingue. Il parle également espagnol et possède des notions d’inuktitut. Dans ses temps libres, il aime voyager, cuisiner et jouer des rôles au cinéma et à la télévision. Il se réjouit de réseauter avec d’autres francophones du pays et de mettre à contribution son sourire et son énergie afin de motiver d’autres jeunes à exercer une influence positive au sein de leur communauté.

Mary vit au centre-ville de Toronto avec sa famille et ses deux chats, Elvis et Elsa.

Gurbeen Bhasin est la fondatrice et directrice générale d’Aangen. Cet organisme à but non lucratif, dont le siège social se trouve à Toronto, se concentre sur l’amélioration de la sécurité alimentaire et de la justice sociale dans la région et de par le monde.

Assistante sociale ayant une formation professionnelle, Gurbeen a créé Aangen en 2000, dans la foulée de bon nombre de ses ancêtres qui ont accueilli et soutenu des membres de la communauté faisant face à des difficultés. Avec son équipe, elle a mené à bien des programmes de services communautaires pour aider des familles en crise à obtenir de la nourriture, un abri et d’autres services essentiels. Ces programmes offraient également des services d’accès à l’emploi et de soutien aux personnes en prise avec des problèmes d’itinérance, d’accoutumance, de santé mentale ou faisant face à d’autres obstacles à l’emploi durable.

Aangen finance ces programmes en exploitant des entreprises sociales qui vendent des produits de la ferme et offrent des services de traiteur et de nettoyage. Grâce à Aangen, elle s’investit à autonomiser les gens et à favoriser le développement des communautés en répondant à leurs besoins dès que ces derniers surgissent, à l’aide de solutions durables et équitables.

Au long de son parcours professionnel, elle a agi à titre de cheffe de projet d’une initiative mondiale sur les droits de la personne, d’analyste principale à l’Association canadienne pour la santé mentale et d’entrepreneure et créatrice à Toronto dans le secteur indépendant des arts.

Gurbeen est titulaire d’une maîtrise en travail social de l’Université du Michigan, d’une maîtrise ès arts en relations internationales de l’Université de Windsor et d’un baccalauréat ès arts en sciences politiques de l’Université York. Elle est surtout connue pour son sourire radieux, ses chaussures originales et ses vidéos transmettant la sagesse intemporelle de sa mère sur la vie.

Issue de la Première Nation des Batchewanas, Karen Bird est directrice adjointe de succursale et conseillère en placements à RBC Gestion de patrimoine. Elle est d’ailleurs au service de RBC depuis 17 ans. Avant cela, elle a agi pendant plus de 24 ans à titre de professionnelle en gestion de projets dans divers secteurs du commerce et des finances. Son expérience englobe les prêts personnels et commerciaux, les services d’aide à la planification d’entreprise, la gestion immobilière, la gestion en énergie renouvelable, la cogestion, l’élaboration de plans d’affaires et le mentorat pour les jeunes entreprises. Outre son expérience professionnelle et ses compétences, en 2015, Karen a reçu avec fierté le prix décerné aux femmes d’influence du Nord de l’Ontario (Influential Women of Northern Ontario) pour les dirigeant·e·s autochtones ; en 2018, le prix ATHENA pour le leadership ; et en 2019, le prix régional du président de RBC pour le leadership en matière de diversité. Karen est mère de quatre enfants et a passé la plus grande partie de sa vie dans des réserves. Sa langue lui est chère et elle véhicule de nombreux enseignements culturels. Karen a accompli un mandat au conseil de bande, elle est l’ancienne présidente de l’organisme Batchewana Band Industries et une ancienne membre du conseil d’administration de l’organisme Les Anges du Nord de l’Ontario. Elle siège actuellement au conseil de l’organisme TakingITGlobal et est la première présidente autochtone de la Chambre de commerce de Sault Ste. Marie. Karen se fait une ardente défenseure des femmes en affaire, de l’inclusion des peuples autochtones, des jeunes autochtones et des victimes d’agressions sexuelles en participant à de nombreux séminaires, tables rondes et conférences.

Je m’appelle Mallika Saggoo (elle) et je vis actuellement à Winnipeg, au Manitoba. J’étudie pour obtenir mon baccalauréat en sciences de la santé à l’Université du Manitoba dans l’espoir d’aller en médecine ou de poursuivre mes études de cycles supérieurs. La science et la santé mentale me passionnent, à tel point que si vous ne m'arrêtez pas, je peux en parler pendant des heures ! Je me considère comme une aventurière du fait j’ai vécu dans cinq villes différentes à ce jour. Cela s’explique probablement parce que je dévore le plus de livres possible. J’aime bien faire du crochet ou toute forme d’exercice, ce qui me permet de vider mon trop-plein d’énergie. Je termine cette courte biographie sur cette note relative à ma conviction qu’il faut dormir au moins sept heures par jour. Si ce n’est pas votre cas, faites-moi le plaisir d’aller piquer une sieste.

Madyson Campbell est née et a été élevée à Thunder Bay, en Ontario. Elle est en quatrième année du programme de baccalauréat ès sciences de l’Université de la Colombie-Britannique. Madyson est membre de la Nation métisse de l’Ontario et elle représente la Région 2 au Conseil des jeunes de la Nation métisse de l’Ontario. Elle est également confondatrice du Thunder Bay Free Store, une initiative locale de services communautaires.

Hunter MacKenzie est né et a été élevé à Thunder Bay, en Ontario. En 2022, il a obtenu un baccalauréat ès arts avec distinction de l’Université Lakehead. Il étudie actuellement en première année à la faculté de droit Bora Laskin. Il est également cofondateur du Thunder Bay Free Store, une initiative locale de services communautaires. Ses passe-temps comprennent les sports et les activités de plein air.

Joanna Pyres est une facilitatrice de partenariat agréée et passionnée, ainsi qu’une fervente partisane des changements collaboratifs. Son rôle mondial au sein de la Partnership Brokers Association lui permet d’établir la reconnaissance de ce rôle et des compétences professionnelles nécessaires pour exécuter de tels changements. Après avoir œuvré dans le milieu de l’engagement social des entreprises, Joanna travaille actuellement à apporter des changements locaux dans la région rurale de l’état de Goa (en Inde) à l’aide de processus participatifs et collaboratifs, afin d’encourager la population de tout l’état à créer un écosystème actif ayant pour objectifs la résilience climatique, l’économie circulaire et la transition écologique. Joanna est également la confondatrice des organismes Circlewallas.net et Actforgoa.org, qui visent à assurer la participation des communautés, des villages et des jeunes dans divers projets de développement écologique.

Mark Blumberg est un associé du cabinet d’avocats Blumbergs à Toronto. Il travaille presque exclusivement au service d’organismes à but non lucratif et d’œuvres de bienfaisance, les conseillant sur leur travail au Canada et à l’étranger. Mark a rédigé de nombreux articles et il donne souvent des conférences sur des enjeux juridiques liés au droit régissant les organismes de bienfaisance et à but non lucratif. Il est éditeur du blogue www.CanadianCharityLaw.ca et il a créé le plus important portail de données sur le secteur des organismes de bienfaisance au Canada : www.CharityData.ca. Mark voit également à la publication de www.SmartGiving.ca, qui renseigne sur la diligence raisonnable lors du choix d’un organisme de bienfaisance.

Mark est titulaire d’un B.A. en sciences politiques de l’Université de Toronto, d’un LL. B. de l’Université de la Colombie-Britannique et d’une maîtrise en droit fiscal de la Osgoode Hall Law School.

Maddy Sawyer est avocate associée chez Blumbergs. Sa pratique vise principalement le droit régissant les organismes de bienfaisance et à but non lucratif, à qui elle fournit également des services juridiques. À ce titre, elle conseille ses clients dans leurs échanges avec la Direction des organismes de bienfaisance de l’Agence du revenu du Canada. Maddy contribue régulièrement au site www.CanadianCharityLaw.ca, un site Web sur le droit régissant les organismes de bienfaisance au Canada qui se spécialise dans les nouvelles relatives au secteur caritatif canadien, ainsi que dans les enjeux juridiques et éthiques qui touchent les organismes de bienfaisance canadiens œuvrant au pays ou à l’étranger.

Maddy est titulaire d’un doctorat en droit de l’Université de Toronto, qu’elle a obtenu en 2017 après avoir décroché une maîtrise ès arts de l’Université Ryerson en 2013, ainsi qu’un baccalauréat ès arts (avec distinction) de l’Université de Calgary en 2012. Maddy a été admise au Barreau de l’Ontario en 2018.

C’est à un très jeune âge, après avoir vu plusieurs documentaires sur des enjeux mondiaux et avoir été victime d’intimidation et d’exclusion, que Lauren a commencé à militer pour des causes sociales et environnementales. Entrepreneure née, Lauren a créé plusieurs entreprises, dont une société de produits de soins de la peau à seulement 15 ans. Elle effectue actuellement une maîtrise en études environnementales à l’Université York et se spécialise en développement durable des entreprises et en changement social. Elle est aussi la codirectrice générale de Regenesis, l’une des plus importantes organisations environnementales étudiantes du Canada. Elle est la fondatrice du Green Career Centre, dont la mission est de préparer les jeunes sous-représenté·e·s à une carrière dans le domaine de l’écologie. Au cours des cinq dernières années, Lauren a rejoint des milliers de jeunes en élaborant des programmes d’entrepreneuriat environnemental et en partageant des ressources en développement de carrière. Lors de ses recherches, pendant ses études de premier cycle, elle a rencontré des décideur·euse·s du gouvernement du Canada afin de les pousser à inclure la jeunesse défavorisée dans leurs politiques et leurs programmes d’emploi. Elle a obtenu plus d’un million de dollars de financement au profit d'organisations qui cherchent à produire un fort impact et sont dirigées par des personnes autochtones, noires et de couleurs, ce qui a permis la création d’une foule d’événements environnementaux, de douzaines d’emplois « verts », de trois jardins communautaires et d’un espace pour une soupe populaire, un fait impressionnant. Son travail a été reconnu par Corporate Knights, The Starfish Canada et Metroland Media, ainsi que par des politicien·ne·s comme le premier ministre Justin Trudeau et la ministre de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et de l’Inclusion des personnes en situation de handicap du Canada Carla Qualtrough. Solutionniste passionnée et pilier de sa communauté, Lauren souhaite continuer à utiliser ses compétences et son militantisme afin d’améliorer le bien-être des personnes et de la planète.

Leader chevronnée, Chloe Chow cumule plus de huit ans d’expérience dans les secteurs à but lucratif et non lucratif. Elle est la directrice des opérations chez Breather, où elle a occupé divers postes de direction depuis 2017. Chloe est aussi fondatrice et présidente du conseil d’administration de Vent Over Tea, une entreprise qui aide les personnes et les organisations à faire face aux problèmes de stress et de santé mentale en offrant des services gratuits d’écoute active en personne. En plus de son expérience en entreprise, Chloé a été porte-parole pour l’initiative nationale Cause pour la cause, de Bell, dont l’objectif est d’accroître la sensibilisation en matière de santé mentale et de soutien connexe. Chloe adore utiliser ses compétences et son expertise pour aider les autres et susciter des changements positifs.

Dirigeante en ressources humaines, DPRH et spécialiste en diversité, inclusion et équité, Ingrid Wilson possède plus de 30 ans d’expérience en stratégie d’entreprise en matière de ressources humaines, en conseils d’administration et en stratégie opérationnelle. En 2021, elle a été nommée parmi les 25 personnalités de l’année dans le domaine de la diversité, de l’équité et de l’inclusion par The Canadian Multicultural Group, en plus de figurer au palmarès LinkedIn des plus de 1 000 femmes qui insufflent l’inspiration grâce à leur travail. Elle a siégé aux conseils et aux comités consultatifs d’organisations à but non but lucratif et communautaires, entre autres à titre de directrice de la gouvernance et de la vérification du conseil d’administration de la Canadian Association of Black Insurance Professionals.

Ingrid a acquis son expérience organisationnelle auprès de sociétés d’État, d’organisations sans but lucratif, du secteur public, d’entreprises publiques et privées et du

milieu de la réglementation, et elle a développé sa vaste expertise en travaillant pour des organisations aux activités diversifiées. Elle a acquis une connaissance et une compréhension approfondies des questions de diversité, d’inclusion et d’équité en raison de ses expériences personnelles et par son travail auprès des communautés vulnérables et racisées. Elle élabore et met en œuvre des stratégies de gestion inclusive des talents et de développement inclusif du leadership, des groupes de discussion et d’évaluation de la culture, des cercles de parole, des programmes et des webinaires interactifs de sensibilisation. Elle se spécialise en outre dans les stratégies d’accessibilité, dont l’objectif est de déterminer et d’éliminer les problèmes de racisme systémique ainsi que les obstacles physiques et technologiques nuisant à la promotion d’environnements de travail inclusifs, équitables et respectueux.

La recherche de l’excellence affichée par Ingrid en matière de stratégies de ressources humaines, de conseils d’administration et de leadership se reflète, entre autres, dans ses titres de CRHA et de CHRL (Certified Human Resources Leader), ainsi que dans ses études aux programmes de l’Université Queen’s et de l’École de gestion Rotman de l’Université de Toronto. Elle est actuellement membre du Groupe consultatif en ressources humaines pour les programmes de perfectionnement des gestionnaires axés sur le leadership en ressources humaines. Elle siège aussi au Comité des appels (réglementaires) du conseil d’administration de la Human Resources Professionals Association.

Ingrid Wilson, leader en ressources humaines agréée (CHRL)

Dirigeante en ressources humaines et DPRH

Stratège en matière d’équité et d’inclusion

Cassidy est président de Threads That Thrive, une association à but non lucratif qui cherche à améliorer la santé mentale des personnes diversifiées sur le plan du genre. Il siège également au comité directeur du centre de guérison Stonewall Recovery, le premier centre au Canada pour personnes 2SLGBTQ+ ayant des addictions. Il passe le peu de temps libre dont il dispose avec son mari Eddy, leurs deux chiens Cabbages et Mulfuf, et leur chatte Lily. Cassidy entreprend actuellement des études pour obtenir une double majeure en comptabilité et en gestion, qu'il compte achever avant d'entamer une maîtrise en travail social.

Justine Abigail Yu (elle) est la fondatrice de Living Hyphen, une communauté et plateforme multimédia qui cherche à comprendre les implications d’être Canadien·ne tout en vivant à cheval sur deux cultures, c’est-à-dire de considérer le Canada comme son pays mais d’avoir des racines ailleurs.

Justine est une animatrice d’ateliers d’écriture qui a remporté de nombreux prix, et dont le rôle au sein de Living Hyphen a fait l’objet de reportages locaux, nationaux et internationaux, entre autres dans le Globe & Mail et aux nouvelles nationales de CTV et de CBC. Elle a également été nommée « Artisane du changement » par le

Toronto Star en octobre 2021.

Justine Abigail se bat activement contre l’oppression et en faveur des droits à l’équité. Sa mission est d’éveiller les consciences et de donner de l’élan aux changements sociaux. Pour

en savoir plus, consultez les sites www.justineabigail.com et www.livinghyphen.ca

Innovateur ayant remporté de nombreux prix, Vinod Rajasekaran est le fondateur, l’éditeur et le directeur général de Future of Good, une organisation médiatique à la croissance rapide qui se spécialise dans le journalisme d’impact social pour les artisan·e·s du changement. Future of Good est une ressource essentielle pour ceux et celles qui veulent connaître, analyser et mieux comprendre un secteur et une société en transition. Tous les jours, des dizaines de milliers d’artisan·e·s du changement lisent Future of Good pour s’informer et développer des habiletés qui faciliteront leur prise de décisions. Future of Good a organisé des conférences novatrices sur le leadership noir dans l’impact social, la levée des barrières numériques et la transformation des modèles de financement, conférences qui ont réuni plus de 3 500 artisan·e·s du changement venu·e·s élargir leurs connaissances et accélérer leur processus d’innovation.

En plus de ses divers rôles dans Future of Good, Vinod enseigne un cours de maîtrise à l’université Carleton sur les tendances et les débats qui informent l’avenir de la philanthropie. Avant de lancer Future of Good, Vinod supervisait la stratégie et le développement de modèles d’affaires en tant que fondateur et directeur général de la fondation Rideau Hall, présidée par l’ancien gouverneur général du Canada David Johnston. Vinod a aussi été le fondateur et directeur exécutif d'Impact Hub Ottawa, le plus grand environnement de cotravail multisectoriel de la capitale canadienne. Il avait également lancé le réseau social R&D grâce à une bourse de la fondation SiG-McConnell, afin de renforcer la capacité de recherche et de développement des associations canadiennes à but non lucratif. Vinod est mondialement reconnu pour ses projets innovateurs dans le domaine de la recherche et du développement social. Il a également travaillé à l’étranger pour diverses organisations de développement international.

Vinod siège au comité consultatif de la fondation Equality. Il a été nommé « Innovateur international » par le Forum économique mondial et a remporté le prestigieux prix Lewis Perinbam pour l’innovation sociale. Il est aussi membre du Forum de Banff et des communautés NEXUS, ainsi que récipiendaire de la médaille du Jubilé de diamant de la Reine Elizabeth II pour sa contribution au Canada.

Vinod intervient régulièrement dans les médias et est invité dans le monde entier pour donner des conférences sur les tendances émergentes dans l’impact social, le financement social, l’innovation, la philanthropie et la responsabilité sociale des grandes entreprises.

Emily O’Brien est une entrepreneure qui a fondé Comeback Snacks, une entreprise spécialisée dans le maïs soufflé qui remet en question le statu quo. Après avoir été condamnée à quatre ans de prison à la suite d’une relation de maltraitance, Emily s’est donné comme mission de se transformer personnellement en tirant le meilleur profit de son incarcération. Mettant à profit son expérience entrepreneuriale précédente, elle a développé l’idée de Comeback Snacks (auparavant Cons and Kernels), une marque de maïs soufflé qui emploie des ingrédients de haute qualité tenant compte de la santé afin de créer des goûts uniques inspirés de ceux qu’elle créait en prison.

En juin 2021, Emily a ouvert Comeback Commissary, le tout premier magasin de détail de Comeback Snacks, espace qui met aussi l’accent sur son histoire et celles d’autres détenu·e·s. Par ce travail innovateur, elle a démontré que des changements positifs peuvent se produire au sein des institutions correctionnelles, si l’on peut faire preuve de passion, de détermination et d’un état d’esprit créatif. Emily veut aider à éliminer la mauvaise réputation des gens ayant passé du temps en prison, et leur fournir des occasions de réintégration par la formation, l’éducation et la responsabilisation.

Sa passion pour ce projet unique la fait intervenir régulièrement dans les médias, entre autres CBC, CTV, Global, Toronto Star, iHeartRadio, CHCH et VICE. Emily a reçu le Prix de l’entrepreneuriat et du leadership dans les affaires lors de la cérémonie 2020 des YWCA Hamilton Women of Distinction Awards, et, plus récemment, été nommée finaliste au Prix de l’entrepreneure de l’année lors des Women’s Empowerment Awards. En 2022, elle a également reçu la médaille du Jubilé de platine de la Reine pour service communautaire en reconnaissance de son engagement pour la justice sociale. Emily prépare actuellement un mémoire décrivant ses expériences, notamment au

sein du système de justice pénale. Pour en savoir plus sur Emily, consultez son site Web.

James Arruda habite à Tiohtià:ke (aussi appelée Montréal), où il est également né. De descendance portugaise (Açores), il se considère Franco-Québécois à part entière. Son mémoire de maîtrise analyse la décolonisation et l’enseignement de l’économie canadienne afin de mieux comprendre comment le modèle du pionnier-colonialiste est reproduit dans les cours universitaires d’introduction à l’économie au Canada. S’intéressant aussi aux méthodologies de pensée critique, à la gestion et à la science des données ainsi qu’à l’apprentissage machine, James espère pouvoir appliquer les processus de décolonisation et d’anti-oppression aux technologies d’information émergentes. Dans un ordre d’idées plus traditionnel, James adore faire du surf, et il explore ses racines portugaises par l’art de la cuisine et de la pâtisserie.

Depuis plus de cinq ans, Topaza Yu défend activement les notions d’anti-racisme et d’anti-oppression (ARAO), ainsi que celles de la santé et des droits sexuels et reproductifs (SDSR). Son engagement en faveur de l’ARAO et la SDSR l’a amenée à siéger au conseil d’administration d’Action Canada pour la santé et les droits sexuels, ainsi qu'au comité de l’ARAO. Elle est aussi membre du Conseil jeunesse du premier ministre, où elle propose, au premier ministre, à ses ministres et aux hauts fonctionnaires du gouvernement, des conseils et des suggestions dans les domaines de l’ARAO et de la SDSR qui affectent les Canadiens et Canadiennes.

Sara enseigne dans le Programme d’arts libéraux du Collège Humber, où elle se spécialise en politique et en sociologie. Depuis 2019, Sara fait partie de l’équipe professorale qui coordonne le concours Map the System [Cartographier le système] au Collège. Elle a également codirigé diverses initiatives de pensée systémique dans l’ensemble de l’établissement.

Avant cela, Sara a travaillé pour TakingITGlobal, où elle coordonnait des projets visant à amplifier la voix du corps étudiant, l’entrepreneuriat social et divers programmes d’éducation mondiale pour des jeunes aux quatre coins de la planète. Sara a également travaillé plusieurs années sur des projets de développement international au Guyana (Youth Challenge International), au Honduras (Proyecto Aldea Global) et en Tanzanie (Fondation Aga Khan Canada). Elle est titulaire d’un baccalauréat en études du développement international de l’Université York et d’une maîtrise en mondialisation de l’Université McMaster. Elle possède un baccalauréat en éducation de l’Université de Toronto. Ses recherches portent sur le développement international, ainsi que sur l’éducation humanitaire et l’éducation à la citoyenneté mondiale.

Elinor Bray-Collins est professeure de politique et d’économie politique pour la Faculté des arts libéraux et des sciences du Collège Humber de Toronto. Conjointement avec sa collègue Sara Hassan, Elinor a remporté le Prix de l’innovation de l’année en 2020 pour avoir organisé le concours Map the System (une compétition mondiale destinée au corps étudiant et axée sur la pensée systémique) au Collège Humber et pour l’avoir adapté au contexte d’un établissement polytechnique. Depuis lors, elle travaille avec des étudiant·e·s, des professeur·e·s, des ONG et des jeunes du monde entier pour créer des possibilités d’apprentissage permettant à divers jeunes d’exprimer leur vision de l’égalité, de la durabilité et de certains changements à apporter aux systèmes.

Avant de se joindre à la faculté du Collège Humber, Elinor a travaillé au développement international et à la consolidation de la paix au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est et en Afrique de l’Est, où elle a collaboré avec de jeunes dirigeant·e·s politiques de plusieurs communautés pour résoudre des problèmes complexes. Elle a également été membre et fondatrice d’une jeune entreprise prospère du secteur privé qui a mené des recherches sur la culture de consommation.

Les publications récentes d’Elinor comprennent des travaux sur les politiques jeunesse au Liban, la corrélation entre genre et développement, l’apprentissage transformationnel et l’éducation orientée sur le changement des systèmes. Elinor est titulaire d’un doctorat en sciences politiques de l’Université de Toronto et d’une

maîtrise en éducation des adultes et apprentissage transformateur de l’Institut d’études pédagogiques de l’Ontario. Elle vit à Toronto avec sa fille et ses deux chats.

Ilona est la cofondatrice et directrice générale du Projet jeunesse et innovation de l’université Waterloo. Elle a reçu de nombreux prix axés sur l’innovation sociale et intervient régulièrement dans les médias canadiens pour conseiller les gens des affaires, la société civile et le gouvernement sur les diverses façons dont ils peuvent mettre à profit la valeur et les habiletés originales des jeunes. Ayant cofondé plusieurs organisations couronnées de succès, elle cumule de nombreuses années d’expérience dans les domaines du leadership et de la gouvernance. En 2004, elle a cofondé Apathy is Boring, une organisation nationale non partisane pour éduquer les jeunes sur la démocratie et les encourager à voter. Ilona est inscrite au programme de doctorat en sciences politiques de l’université Waterloo. Elle est membre active d’Ashoka et conférencière pour l’agence Speaker Spotlight.

Michael Furdyk est le cofondateur de TakingITGlobal (www.tigweb.org), une organisation qui propose des programmes innovateurs d’éducation internationale pour encourager les jeunes à comprendre et relever les plus grands défis auxquels notre monde est confronté. TIG a reçu le Prix 2013 de l’innovation interculturelle de l’Alliance des civilisations de l’Organisation des Nations Unies et du groupe BMW. Dans le passé, Michael avait tiré parti de son intérêt pour la technologie afin de créer diverses entreprises en ligne couronnées de succès, entre autres MyDesktop.com (vendue à Internet.com en 1999). Contribute Magazine l’a nommé l’un des « dix révolutionnaires du secteur de la technologie qui redéfinissent le visage et le pouvoir de la philanthropie ».

Michael a été interviewé dans l’émission d’Oprah Winfrey, fait une présentation TED, et été nommé parmi les « vingt adolescents qui vont changer le monde » par Teen People. Au cours des dix dernières années, il a été conférencier principal dans plus de trente pays à l’occasion de plus de cent événements intersectoriels, par lesquels il a communiqué son expertise sur les médias sociaux et ses réflexions sur l’éducation et l’engagement des jeunes. Il a obtenu une maîtrise en conception inclusive dans le programme de Design de l’Université de l’École d’art et de design de l’Ontario et a été instructeur adjoint dans le programme de maîtrise en technologies de l’éducation à l’Université Long Island.

Esther a créé Project Agape pour changer les perceptions sur la violence familiale et le viol. Ce projet est inspiré de la jeunesse d’Esther, qui a grandi dans un milieu où régnait la violence familiale. Elle a aussi fait l’expérience de la violence sexuelle dans le cadre d’une relation toxique avec un partenaire malveillant. Grâce à sa longue expérience d’éducatrice, Esther cherche à ouvrir les yeux des jeunes sur les violences familiales et sexuelles. Elle veut aussi que les ateliers de bien-être de Project Agape servent de systèmes de soutien aux personnes survivantes noires comme elle.

Hannah s’est jointe à Project Agape parce qu’elle voulait que les personnes autochtones, noires et de couleur survivantes aient accès à des ressources essentielles pour tenter de corriger les inégalités auxquelles elles sont confrontées dans la société. Elle est déterminée à briser le cycle de cette malédiction intergénérationnelle. Pour elle, défendre les droits des victimes consiste à proposer à ces dernières des renseignements, du soutien et des ressources afin de les aider à surmonter leurs traumatismes. Pour cela, elle emploie une approche intersectionnelle de lutte contre la violence basée sur le genre. Elle s’efforce également de faire en sorte que justice soit rendue aux personnes survivantes, ce qui revient à contribuer au soutien et à la guérison des victimes de violences, de manière à avoir un impact positif sur de nombreuses générations à venir.

Shirley Joubert est étudiante au Nouveau-Brunswick, au Canada. Pendant son secondaire, elle a reçu une bourse de l’organisme Jeunes en action qui lui a permis de créer un espace sécuritaire dans son école afin d’aider des élèves aux prises avec des troubles de santé mentale ou diverses situations d’accablement psychologique, ce qui a valu beaucoup de soutien de la part de la communauté. Elle a d’ailleurs été interviewée par CBC et, afin de mener à bien son projet, a travaillé avec diverses organisations de soutien à la santé mentale dans la grande région de Moncton. Shirley poursuit actuellement cette initiative en cherchant à établir des espaces similaires dans de nombreuses écoles du pays. Pour cela, elle collabore avec des fonctionnaires du gouvernement et des professionnel·le·s de l’éducation afin de s’assurer de la viabilité de ce projet dans l’environnement scolaire. Désireuse d’élargir ses horizons, elle a aussi pris contact avec plusieurs entreprises afin de créer des espaces sûrs dans toutes sortes de milieux. Lorsque Shirley ne travaille pas à ces grandes initiatives, elle joue à Donjons et Dragons, collectionne des cassettes et des DVD avec son père, écrit des poèmes et des nouvelles, et contribue à la récente tendance TikTok intitulée « Dabloontok ».

Chivon John est une spécialiste du bien-être en milieu du travail et une ardente défenseure de la santé mentale. Elle consacre son temps à aider le personnel très performant à réduire le fossé entre réussite sociale et bien-être.

Inspirée par son propre apprentissage et désapprentissage de ce qui constitue le bien-être au travail, Chivon aide les organisations et les personnes à intégrer dans leur éthique de travail une composante d’attention au bien-être général de leur personnel. Elle intervient régulièrement dans les médias (The Globe and Mail, Fast Company, CBC et The Thread à TVO), sur des sujets tels que le bien-être au travail et l’autogestion de la santé, afin d’aider les professionnel·le·s, les dirigeant·e·s et les employé·e·s performant·e·s.

En dehors de son engagement pour le mieux-être, Chivon siège au conseil d’administration de TakingItGlobal et est la fondatrice de LightWork, une marque spécialisée dans la recherche et l'élaboration de produits à l'intersection du monde professionnel et de la quête du bien-être.

Collaboratrice en série et exploratrice de possibilités, Jay offre du mentorat aux jeunes et se veut une ardente défenseure de la santé mentale. Elle travaille comme consultante en conception de programmes et comme éducatrice en bien-être, et se spécialise dans l’équité et l’inclusion au sein d'associations à but non lucratif de tout le Canada.

Au cours des dix dernières années, Jay a participé au développement de la jeunesse et des communautés en centrant ses efforts sur les façons d’utiliser les capacités et la résilience des communautés existantes pour renforcer le bien-être physique et mental de leurs membres. Grâce à son expérience dans plus de dix pays, elle a acquis de nombreuses connaissances pour établir et conserver des communautés plus saines. Les valeurs fondamentales ci-après forment la base de son travail : résilience et autonomie, intersectionnalité, soins tenant compte des traumatismes, équité, accessibilité et humilité.

Eden a obtenu un baccalauréat en sciences de l’Université de l’Alberta en 2018 et est actuellement inscrit dans un programme de maîtrise en sciences dans le programme intégré en neurosciences à l’Université McGill (fin prévue en 2024). Parallèlement à ses études, Eden a travaillé pour un grand nombre de laboratoires de base et de recherche clinique dans les domaines des neurosciences, de la psychologie, de la psychiatrie et de la physiologie depuis 2015. Depuis plusieurs années, combinant ses deux intérêts pour les neurosciences informatiques et la communautique, Eden travaille avec des étudiant·e·s sur une équipe de projet créée au début de 2019 et intitulée NeurAlbertaTech . Il est ensuite devenu directeur du plan stratégique NeuroNexus 2020 d’Edmonton, un concours interdisciplinaire de conception inspirée du cerveau qui se déroule pendant six semaines dans toute la province de l’Alberta. À l’heure actuelle, NeurAlbertaTech est un OSBL, qui organise annuellement le plus grand programmathon BCI du Canada, celui-ci ayant regroupé près de trois cents participant·e·s dans sa deuxième année d’existence (2022). Directeur général de NeurAlbertaTech, Eden travaille avec une équipe albertaine très performante afin de maintenir et d’étendre ce réseau d’innovation neurotechnologique de tout premier ordre, et d’assurer la promotion de l’éducation et du perfectionnement professionnel dans le secteur de l’interface cerveau-machine (ICM).

Carly Chartier se définit Première Nation et Métisse originaire des territoires du Traité n 1 du Manitoba (Canada). Elle a obtenu deux certificats au Collège Red Deer : le premier en gestion des ressources humaines et l’autre en perfectionnement de la gestion et en consultation et mobilisation des populations autochtones. Carly travaille actuellement pour une association autochtone à but non lucratif dans les domaines de l’administration, de la consultation et du développement de programmes.

Ashley Richard est fière d’être une Philippine de Winnipeg qui a aussi des ancêtres dans les nations autochtones de Pine Creek et de Camperville au Manitoba. Son nom spirituel est Femme éternelle. Dans sa vie, Ashley a comme objectif de suivre les traces de sa grand-mère Mary Richard, qui avait consacré son existence aux droits des autochtones. La carrière d’Ashley, en tant que professionnelle et bénévole, inclut la participation à de nombreux collectifs communautaires, à des activités d’entrepreneuriat, des entreprises du secteur privé et des associations à but non lucratif. Elle a reçu un baccalauréat en commerce (avec mention) de l’université du Manitoba, et elle fait partie de la promotion 2021 du Programme de maîtrise en entrepreneuriat et en innovation en matière de gestion de l’université Queen’s. Après avoir subi une agression sexuelle et s’étant retrouvée sans abri dès un très jeune âge, Ashley est désormais une conférencière invitée dans tout le Canada pour parler de ses expériences et de l’importance de la résilience, de l’empathie et de l’acceptation de soi. Bien que très occupée avec ses nombreux engagements, elle s’attache à faire passer sa santé physique et mentale en premier. Pendant ses loisirs, vous la trouverez donc soit dans un club de cardiovélo, soit en train de jouer avec ses deux chats siamois, Taco et Armani.

Fièrement Franco-Albertain, Chúk est passionné par les manières dont l’environnement porte un impact sur la santé humaine et la question de justice dans notre compréhension du fonctionnement de nos sociétés. Cette passion se manifeste dans son travail en tant que directeur fondateur de Future Ancestors Services où il se penche sur la justice environnementale et la justice climatique dans ses efforts de non seulement rendre les espaces verts accessibles à tout le monde; mais de lutter contre le racisme environnemental dans toutes ses formes et de populariser la compréhension que l’on ne peut pas créer une société qui est respectueuse envers l’environnement si la société n’est pas juste. Chúk est également doctorant en géographie médicale. Sa recherche vise à valoriser plusieurs types de connaissances et de savoirs afin de mieux comprendre les impacts de l’environnement (biophysique, socioculturel, socioéconomique et sociopolitique) sur la vulnérabilité/la résilience d’une communauté face à une maladie.

Chúk a travaillé dans des secteurs divers, tel que l’industrie du pétrole et du gaz, l’industrie de la mode au détail ainsi que dans le milieu académique. Il s’intéresse à la nature pluridisciplinaire de notre existence et à l’exploration de nouvelles solutions qui répondront à des problèmes récurrents. Chúk a été classé parmi les

30 meilleurs acteurs de changement chez les moins de 30 ans par l’Alberta Council for Global Cooperation, parmi le Top 10 des jeunes leaders franco-albertains par Radio-Canada, et il a été nommé par The Starfish parmi les 25 meilleurs écologistes de moins de 25 ans au Canada pendant trois ans. Chúk a été ambassadeur de MEC pour le plein air et il a fait partie de la première cohorte de Portail océan, un groupe de jeunes Canadiennes et Canadiens menant des projets de santé et de sensibilisation océaniques au Canada.

Nous, Brandi, Tori et Keeley MacCuish, sommes trois sœurs qui avons grandi à Trenton, en Nouvelle-Écosse, une petite ville au sein de laquelle les liens sont forts. Nous sommes toutes les trois nées au cours des années 1990, et nous sommes les meilleures amies du monde depuis ! Nous avons passé notre enfance à pratiquer plusieurs sports, à fréquenter la maison de jeunes locale et à participer au programme estival du parc de Trenton. Au secondaire, nous étions toutes les trois des joueuses assidues de rugby et de hockey. Keeley a même continué le rugby pendant ses études à l’université St. Francis Xavier, où elle a remporté deux championnats nationaux. Elle est maintenant enseignante à Arviat, au Nunavut. Brandi, quant à elle, travaille depuis de nombreuses années pour des organismes à but non lucratif en Nouvelle-Écosse, et Tori, enfin, travaille dans le milieu de la restauration dans le comté de Pictou depuis plusieurs années. L’idée de ce programme nous est naturellement venue pour notre communauté après avoir assisté à nombre de bals de finissant·e·s. Nous nous sommes rapidement mises au travail et nous nous sommes organisées pour rassembler des robes pour les élèves de la région. Ce projet a resserré les liens à l’intérieur de notre communauté, mais aussi nos liens en tant que sœurs. Nous ne nous sommes jamais senties aussi proches ! Pouvoir apporter un changement positif dans la communauté qui nous a soutenues tout au long de notre vie nous a transformées.

Gestionnaire de projet, consultante, facilitatrice et entrepreneure sociale, Kristle a passé les vingt dernières années à diriger de nombreuses initiatives, dont l’objectif est d’avoir un impact durable dans le secteur de l’entrepreneuriat citoyen et de l’économie sociale. Kristle a accompagné plus de 400 jeunes innovatrices et innovateurs du domaine social. Sa mission à TakingITGlobal la passionne : aider les jeunes à catalyser leur énergie et leur ingéniosité pour apporter un changement durable. Quand elle ne travaille pas, Kristle dirige des projets de service dans sa communauté située au bord d’un lac, elle exerce sa main verte pour pouvoir apporter fruits et légumes directement de son jardin à la table et elle célèbre au quotidien sa joie de vivre avec ses enfants et ses chiens.

Partenaire, Deloitte Digital, Conception de l’expérience

Marilyn dirige l’équipe de recherche sur la conception de l’expérience et l’expérience utilisateur (UX) des 65 ans et plus pour tout le Canada. Pour ce faire, elle appuie les autres concepteur·rice·s afin qu’ils parviennent à réaliser leurs objectifs et à créer des produits qui raviront les êtres humains, et elle s’applique à aider ses clients et ses partenaires à atteindre l’excellence dans la conception de leurs propres organisations. Membre de l’équipe de direction, elle fournit une orientation stratégique, dirige les initiatives au niveau de l’organisation et exécute la feuille de route en travaillant de manière interfonctionnelle dans l’entreprise.

Dotée de plus de vingt années d’expérience dans la conception UX et le marketing numérique, Marilyn fait le lien entre les défis auxquels font face les entreprises et des solutions davantage centrées sur les êtres humains à l’aide de toute une gamme de plateformes technologiques. En étroite collaboration avec ses clients, elle aide ces derniers à convertir leurs feuilles de route stratégiques en des UX efficaces pour obtenir des résultats substantiels et décisifs. Tout au long de sa carrière, elle n’a eu de cesse de développer et de réaliser des solutions innovantes en matière d’expérience utilisateur et numérique pour des organisations mondiales et canadiennes œuvrant dans de multiples secteurs.

Motivée par son intérêt pour la conception guidée par les données dans le but d’améliorer l’expérience client, Marilyn a récemment obtenu du Schulich Executive Education Centre une maîtrise en analytique pour les dirigeant·e·s. Elle se passionne également pour les systèmes d’apprentissage, ainsi les procédés de conception éthiques et inclusifs.

Remerciements

Grande passionnée d’innovation sociale et de durabilité, Lisa prend plaisir à aider sa communauté et à réaliser des illustrations fantaisistes. Son projet #JeunesEnAction avait pour but de sensibiliser la population au chocolat issu du commerce équitable à l’occasion de la Saint-Valentin. Pour ce faire, un groupe de jeunes et elle-même ont donc entrepris de distribuer du chocolat issu du commerce équitable, tout en informant le public par le biais d’anecdotes, de brochures et de discussions.

Kim Boucher-Morin a travaillé avec TakingITGlobal sur une variété de projets depuis qu'elle a rejoint l'équipe en 2017. Elle a organisé des expositions d'art et des événements communautaires dans le cadre du programme Explore150, a travaillé à l'expansion du réseau francophone et soutenu les bénéficiaires du programme de subventions #JeunesEnAction, et a soutenu sporadiquement des initiatives dirigées par TakingITGlobal. Kim a obtenu son baccalauréat en développement international de l'Université McGill en 2017 et termine actuellement une maîtrise en droits humains et action humanitaire à Sciences Po Paris. Dans le cadre de sa maîtrise, Kim a développé son intérêt et sa connaissance de sujets tels que la gestion de projet et l'innovation sociale, et a été ravie d'appliquer ces compétences à son rôle de co-rédactrice de Fleurir.

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